Le Millenaire

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OMES     Organisme de la Médecine Sociale.

      Vous n’­êtes pas sans savoir que le secteur médical au Benin a connu des grèves incessantes qui ont conduit à la paralysie complète de ce secteur d activités républicaines. Les pertes en vies humaines sont les plus déplorables ; et la non-assistance aux personnes en danger a été plus grandissante. A l’origine de ces grèves que nous déplorons tous ; l’amélioration des conditions de vie et de travail des médecins ; agents de santé et autres professionnels. Des préoccupations qui méritent certes d’être prises en compte par le gouvernement.  

     La précarité dans laquelle vergette le corps médical au Benin ne laisse envisager aucune perspective d’avenir radieux. Il est alors indispensable d’investir dans ce secteur d’activités républicaines afin que les populations riveraines puissent bénéficier d’un soins de santé qui soit de bonne qualité et à moindre coût. L’amélioration des conditions de vie et de travail des médecins ; agents de santé et autres professionnels doit désormais être la préoccupation de toute la classe politique béninoise ; ainsi que des composants de toutes les couches sociales qui ont nécessairement besoin de soin de bonne qualité et à moindre coût. Face actuellement aux différentes crises qui secouent tout le corps médical à divers niveaux ; il convient de trouver des solutions convenables. Le Mouvement Humaniste du Millénaire opte pour le mise sur pieds de l OMES ; l’Organisme de la Médecine Sociale ; une toute première institution de la médecine sociale en république du Benin.

                Tout homme sensé et internationaliste sait bien que la médecine sociale n’est pas n’importe quelle genre de profession à cause de sa sensibilité et de tous les risques qu’elle comporte. La profession et toute la corporation elle-même sont définies comme une institution républicaine. Cette profession qui a été historiquement le socle de l’essor scientifique et économique en Europe n’est donc pas une marionnette au gré de la politique politicienne qui ne fait qu’enclaver le développement durable. La médicine sociale est une institution apolitique ; mais elle peut toute fois être un partenaire social en matière de prise de décisions politiques par tout décideur politique soucieux du mieux être des populations riveraines.

                Dans les pays développés ;il existe de nombreuses institutions publiques et privées dans le domaine de la médecine sociale. Malheureusement chez nous au Benin pays en voie de développement ; nous ne disposons d’aucune institution de la médecine sociale. Seuls les décideurs politiques ont une part de manœuvre importante quant à l’exercice de la profession ; tandis que les acteurs sociaux sont les plus marginalisés dans les différentes prises de décisions politique ; que ce soit ; - les études du budget national- la planification-le suivi-et l’exécution du budget national dont une importante est soit disant destinée aux acteurs sociaux ; selon le gouvernement. Cependant ; la démarche technique veut que les acteurs sociaux soient consultés au sens large du terme ; dans le cas contraire le décideur politique ne connaitrait que des échecs. La mauvaise démarche dans les différents programmes politiques des différents gouvernants qui ont eu en main les destiné de la nation béninoise ; a été toujours ‘’ la marginalisation des acteurs sociaux dans les différentes prises de décisions politiques.’’ C’est là l’une des causes fondamentales du désastre auquel nous assistons aujourd’hui. Le grand dommage est notamment du au fait que les acteurs sociaux dont les médecins ; agents de santé et autres professionnels n’ont pas la capacité nécessaire de pouvoir assumer toutes leurs responsabilités. Parce qu’ils n’ont pas une importante marge de manœuvre pouvant leur permettre de fermer les poches de la politique politicienne qui consomme une masse monétaire considérable ; au moment où les autres gémissent dans l’exercice de leur profession. Investir dans le domaine de la santé ; c’est contribuer à l augmentation du PIB ; le Produit Intérêt Brut. Que peut-il se passer lors d’une augmentation de salaire dans les norme de l’art économique compte tenu des différentes répercussions de la crise économique mondiale . Le pouvoir d’achat est augmenté ; ce qui favorise la demande des mains d’œuvre ; et nettement une augmentation des activités de production car la consommation vivrière connaitrait aussi une évolution. Naturellement le PIB augmente et nous assistons à une croissance économique. Les mesures prises par le gouvernement face aux différentes répercussions des effets de la crise mondiale sont tout à fait inadéquates ; ou disons qu’aucune mesure n’a été prise en faveur des acteurs sociaux si ce n’est que des spéculations politiques sous le régime Boni Yayi qui consomme des milliards de francs à perte pour toute la nation béninoise. Invité à Paris par le président Nicolas Sarkozy lors d’un important sommet réunissant de nombreux autres chefs d’Etats ; le président Boni Yayi a préconisé la reforme des institutions de Breton Wood face à la crise mondiales ; et les effets de sa répercussion en Afrique. Cette décision était probablement saluée par tous les intellectuels de hauts niveaux qui trouvait en cet homme un espoir pour toute l’Afrique. Pourquoi une telle bassesse de la part de celui sur qui l’on pouvait placer son espoir. En effet ; les acteurs sociaux ont pendant longtemps grevé sans que notre président de la république ne sache quelle solution adéquate il fallait appliquer pour une sortie de crise et un dénouement heureux. Les primes et indemnités ; surtout l’augmentation des salaires en sont une des prises de décisions politiques judicieuses. Les bailleurs de fonds ont promis financer à cout de milliards des différents projets d’Etat visant à contenir les effets de la répercutions de la crise mondiale en Afrique. Comment ces mêmes bailleurs de fonds aujourd’hui s’opposent à l’augmentation des salaires des acteurs sociaux ; chose qui contribue efficacement à la croissance économique. Les politiques au Benin n’ont pas de mérite ; ils n’ont rien n’a vanté. Ils ont la poutre dans les yeux ; eux qui veulent conscientiser les autres dont les yeux ne sont que voilés par des pailles. Nous les humanistes estimons qu’il est très important que les bailleurs de fonds tiennent réellement compte des effets de la crise mondiale sur les acteurs sociaux dont les médecins ; agents de santé et autres professionnels. Il importe alors de financer des projets de gouvernement visant à réduit le cout de vie et augmenter le pouvoir d’achat ; dont par exemple l’augmentation des salaires compte tenu des effets de la crise mondiale. Le Mouvement Humaniste du Milliaire désapprouve la manière dont l’actuel gouvernement Boni Yayi traite cet important sujet par rapport auquel les bailleurs de fonds sont prêts à débloquer des financements. Le département humanitaire de l’Union Européenne s’est dite prête à soutenir les pays en voie de développement afin qu’ils parviennent à contenir les effets de la crise mondiale. De nombreux partenaires au développement seraient prêts à soutenir le gouvernement dans ces efforts en vue de l’amélioration des conditions de vie et de travail des médecins ; agents de santé et autres professionnels ; compte tenu des effets de la crise mondiale. En temps normal nous devons assister à une augmentation des salaires ; ne serait-ce pendant deux ans ou voir trois ans. Malheureusement tout le Benin a connu de nombreuses pertes en vies humaines suite aux grèves qui n’étaient que le seul recours des acteurs sociaux. Où sont alors passés les milliards que les bailleurs de fonds accordent au Benin pour contenir les effets de la crise mondiale : s’ils sont déjà utilisés ; à quelle fin et à quel dessein. L’objectif des humanistes est que le niveau de vie des acteurs sociaux soit rehaussé ; parce que ce sont eux les producteurs de toute la richesse nationale. Le salaire du président de la république et ses ministres ont augmenté ; et pourquoi pas ceux des acteurs sociaux qui ne sont pas du tout à l’abri des effets de la crise mondiale. La masse monétaire que consomme la politique politicienne au Benin est trop importante pour qu’il y ait un quelconque essor économique. La corruption continue de ruiner le Benin.       

                Cependant ; il importe que les acteurs sociaux ; les médecins ; agents de santé et autres professionnels parviennent à avoir une part de manœuvre très importante par rapport au mieux être la corporation médicale publique et privée ; d’où l’impériale nécessité d’une toute première institution de la médecine sociale en république du Benin. Ceci sans aucun doute permettrait aux acteurs sociaux d’assumer toutes leurs responsabilités.

                O M E S ; l’Organisme de la Médecine Sociale 

Le Mouvement humaniste du Millénaire suggère à tout le Benin à travers les acteurs sociaux et les législateurs ; la mise sur pieds d’une institution mixte regroupant le public et le privé dans le domaine de la médecine sociale. Car le Benin doit désormais se lancer dans une campagne de promotion du secteur privé dans le domaine de la médecine sociale compte tenu des exigences normales des bailleurs de fonds.

Quels sont les objectifs de l’O M E S ; l’Organisme de la Médecine Sociale

Bien vrai que se doter d’une telle institution apparait comme un rêve en république du Benin.

 L’O M E S a pour mission fondamentale ; - l’élaboration et la collecte annuelle des budget de fonctionnement des hôpitaux et cliniques.- la soumission des dits budgets aux différents partenaires ; dont le gouvernement ; l’assemblée nationale ; les différents  partenaires au développement- le suivi du vote du budget national par les députés en ce qui concerne notamment la part destinées aux hôpitaux et cliniques. Celle-ci doit être  bien définie et équitablement reparti tout en ayant soin d’accorder  plus de considération aux hôpitaux à statut particulier comme le CNHU- Les budgets des hôpitaux obtiennent de financement ; tandis que les cliniques obtiennent des subventions accordées au secteur privé- élaboration d’une fiche technique ou feuille de route des hôpitaux et cliniques de concert avec les différents cadres techniques en vue d’une bonne gestion - suivi du déblocage des fonds dans les délais requis par le gouvernement- suivi de la réalisation des différents projets des hôpitaux et cliniques ; une fois le financement bouclé -  suivi des différents projets de promotion des PME et PMI dans le domaine de la médecine sociale en vue du rehaussement du secteur privé. Lesdits projets peuvent avoir été montés par l’O M E S ou d’autres acteurs sociaux- accompagnement des hôpitaux à la recherche des fonds nécessaires en cas où le gouvernement à travers le vote du budget national se montre incapable de couvrir toutes les dépenses à engager. Dans ce cas ; l’OMES avise les partenaires au développement et d’autres humanitaires auprès de qui il sollicite de l’aide en faveur des hôpitaux et cliniques concernés.- l’O M E S opéré des descentes sur le terrain en vue d’un control rigoureux de l’exercice de la profession. La fermeture des cliniques jugées incompétentes ou n’exerçant pas la profession dans les règles de l’art est envisagée. Le recours aux juridictions compétentes en cas de bavures lors de l’exercice de la profession- l’accord de formation continue aux méritants – l’accord d’équipement professionnel et d’autres soutiens matériels et financiers aux cliniques méritantes- l’assignation en justice des hommes politiques ; en cas de corruption ou de graves délits ; de mauvaise gestion des biens publics en ce qui concerne le domaine de la médecine sociale ; la haute cour de justice doit être immédiatement saisie.- l’OMES est une institution républicaine ; un partenaire social efficace en matière de prise de décision politique. C’est la raison pour laquelle le législateur et toute la nation béninoise doivent se pencher sur cette importante préoccupation qui est celle de voir le Benin se doter d’un véritable organisme de la médecine sociale.

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